C’EST TOI SEULE QUE J’AIME
Coucou, c’est toi seule que j’aime.
Je t’ai vue maintes fois en rêve ;
Ton cœur barattait des crèmes
Qui m’envoûtaient, élixir de sève.
Je t’ai vue maintes fois en rêve ;
Ton cœur barattait des crèmes
Qui m’envoûtaient, élixir de sève.
Coucou, c’est toi seule que j’aime.
Coucou, c’est au pré de ton cœur
Que j’ai vu germer ces roses
Qui poussent dans l’Éden de l’Ether.
Que j’ai vu germer ces roses
Qui poussent dans l’Éden de l’Ether.
Il n’y a pas d’effet sans cause.
Coucou, mon Éden c’est ton cœur.
Coucou, mon Éden c’est ton cœur.
Coucou, tends-m’en une en bouquet
Pour prendre mon âme cette aube,
Pour prendre mon âme cette aube,
Digne d’un serf de ta beauté,
Des courbettes sous tes robes !
Coucou, tends-m’en une en bouquet !
Des courbettes sous tes robes !
Coucou, tends-m’en une en bouquet !
Ô Coucou ! le soleil auguste
De cette vénusté augure
Ma longue journée qui débute
Par la limpidité d’azur.
Coucou, ton soleil est auguste !
De cette vénusté augure
Ma longue journée qui débute
Par la limpidité d’azur.
Coucou, ton soleil est auguste !
Coucou, c’est toi seule que j’adore.
Gratifie donc mes privautés
Nocturnes, ô mon bijou d’or !
Ô ange de ma destinée !
Coucou, c’est toi seule que j’adore.
Gratifie donc mes privautés
Nocturnes, ô mon bijou d’or !
Ô ange de ma destinée !
Coucou, c’est toi seule que j’adore.
© CC Nountché
© Les Neuf Muses
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Illustration: photo de Net |
Très joli à lire merci de le partager, Guislaine
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